Les enquêtes jusqu’à présent indiquent que la contagion avait déjà commencé en Europe à la mi-avril, selon l’OMS. Il s’agit du foyer de monkeypox le plus vaste et le plus répandu géographiquement jamais signalé en dehors des zones endémiques d’Afrique de l’Ouest et du Centre.
L’organisation ajoute toutefois qu’il n’est pas nécessaire d’imposer des mesures aussi restrictives que pour le covid, car le virus monkeypox ne se transmet pas de la même manière que le Sars-CoV-2.
“Cependant, et c’est important, nous ne savons toujours pas si nous pouvons contenir efficacement sa propagation. Nous devons donc réduire les infections, par exemple en communiquant clairement, en isolant les personnes infectées et en traçant efficacement les contacts des cas”, précise M. Kluge.